Presse France-Antilles du 7 janvier 1976
On n’explique pas, on ne démontre pas. On ne détaille pas, on ne parle pas devant ces toiles-objets. On les regarde, on les absorbe par les yeux; on s’en imprègne, on vibre de leurs vibrations. Que provoquent-elles ces toiles – car elles sont provoquantes – d’abord en effet de surprise, d’étonnement auquel fait place insidieusement un charme dont on ne peut se défendre, puis c’est l’envoûtement, on bascule dans un autre monde, un monde nouveau.